PARAMARIBO
Classée patrimoine mondial de l'Unesco en 2002, Paramaribo a conservé intact beaucoup des maisons construites par les hollandais dont la particularité est d'être entièrement en bois, souvent peint en blanc.
http://whc.unesco.org/fr/list/940/
Le palais présidentiel et devant l'immense place de l'indépendance
Le ministère des finances avec sa tour de 34m qui abrite une horloge très ancienne et le ministère de la police et de la justice
Une rue typique de la vieille ville et à droite assurément la plus belle maison de la ville.
Et aussi un patrimoine en danger
Paramaribo se situe sur les rives du fleuve Surinam. On peut le traverser avec les bateaux-taxi, en attente perpétuelle sur la Waterkant pour atteindre Meerzog en face.
A marée basse et marée haute, le nouveau pont est toujours là, tout au fond.
Dans un quartier excentré, des travaux d'aménagement
Le néerlandais est la langue officiel, mais beaucoup de gens parlent un mauvais anglais facilement compréhensible pour un français moyen....
Les cimetières sont à l'abandon, alors la question se pose : où sont enterrés maintenant les morts catholiques ?
Le Palmentuin, une sorte de place des palmistes de Cayenne, mais une vraie, avec de magnifiques palmiers...
En centre ville, toujours un maximum d'animation, beaucoup de magasin d'habits, la plupart tenue par les chinois. Comme il fait toujours très chaud, le marchand de sirop glacé, préparé sur place, a toujours un franc succès.
Paramaribo, c'est une animation incessante la journée, des taxis partout qui hèle le client., spectacle permanent dans la bonne humeur. Pas moyen de faire 50M à pied....Pas de station fixe, on fait signe ou le taxi s'arrête même juste devant le client potentiel....1,50 SRD environ le trajet, soit 37c, pourquoi s'en priver ? Et en plus, ils sont joliment décorés...
Ici, d'innombrables bijouteries d'or (l'orpaillage fait des heureux !!!) et des casinos
Les habitants aiment se promener le soir sur la Waterkant
et prendre le temps de s'assoir sur ces fameux bancs, non loin d'une paire de tongs "hors format", en souvenir de l'émigration japonaise.
Dans un quartier annexe, les pubs sont directement peintes sur les murs